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CIEL SILENCIEUX

Jan 16, 2024

L'hiver est vivant.

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Ses paysages peuvent paraître désolés et son silence sans limites peut donner l'apparence de la mort, mais il y a le rythme indéniable de la vie sous ces cieux gris."Dormant"révèle cet esprit qui persiste dans le froid, etCiel silencieux est revenu pour éclairer ceux qui osent espérer face aux ténèbres. Avec leur troisième album en autant d'années,Tom Englund(Evergrey, Rédemption) etVikram Shankar(Rédemption, Lux Terminus) adoptent à nouveau l'art rock ambiant et piloté par le piano, et ce, à travers une heure d'une beauté déchirante.

Les horizons cinématographiques du duo ont captivé les auditeurs depuis leurs débuts en 2020«Satellites,»suivi de l'effort de deuxième année bien accueilli"Nectar."Comme"Dormant"le prouve, cette précédente série de succès n'est pas un hasard : ces artistes sont des maîtres absolus de leur métier, et cette dernière sortie est un autre ajout à leur liste sans cesse impressionnante de réalisations sonores."Dormant"suit initialement à peu près le même schéma queCiel silencieux ' albums précédents avec ses dix titres originaux. L'album est cependant complété par trois reprises façonnées par la signature mélancolique du groupe.

"Dormant" commence par une atmosphère semblable à celle de glisser sous l’eau froide, les auditeurs tendrement plongés sous les vagues idylliques du morceau d’ouverture « Construct ». Ces quatre premiers titres procèdent avec une touche délicate, celle qui a toujours définiCiel silencieux ', et cette précision est particulièrement mise en valeur sur "Just Above the Clouds". Caractéristiques du violoncelle deRaphaël Weinroth-Browne(également entendu sur"Nectar" ) accentuent encore la musicalité technique des porteurs de ce projet. Des touches de sensibilité pop sont dispersées tout au long de l'album, notamment sur le titre principal « Dormant » et le morceau précédent « Light Up the Dark ». Un équilibre minutieux d'éléments musicaux, allant du violoncelle au clavier en passant par le chant enthousiaste, lie "Dormant»avec une grâce émotionnelle transparente.

Ciel silencieuxa toujours été une activité plus saisonnière queEnglund' s premiers terrains d’essai. CommeGris persistantLe nom de s'illumine,Englunds’est penché sur les nombreuses peines de l’âme pendant deux décennies et demie, et ce, avec des lueurs rares et espacées.Shankara traversé de nombreux projets, chacun avec sa propre identité, mais aucun aussi définitivement joyeux queCiel silencieux . La seconde moitié de «Dormant" contient la lumière étincelante des étoiles qui n'a de maison ni dans l'un ni dans l'autre.Gris persistantouRachat . Il y a de la tristesse et de l’hésitation, mais c’est la brillante réfraction de la promesse et de la perspective qui fait que «Dormant " si lumineux. Il y a une beauté indéniable là où Englund et Shankar embrassent une atmosphère d’espoir.

"Reset" pourrait remuer même les cœurs les plus froids, ses crescendos et ses passages envolés comme la première bouffée d'air dans de nouveaux poumons. Contraste avec la douce étreinte deEnglundle timbre estShankar la mélodie énergique du piano. Cette union céleste est mise en valeur tout au long"Dormant,»particulièrement commeShankar oscille sans effort entre un deuil solennel et un désir plein d’espoir. Sa dextérité sur les touches apporte une vibration luxuriante à chaque recoin de"Dormant" dans une célébration de la musicalité visionnaire. "Reset" et "The Real Me" s'entremêlent élégamment avec les thèmes du soi et de l'identité, ressemblant parfois à un autoportrait des artistes derrière l'œuvre, et à d'autres moments comme un miroir pour l'auditeur. C’est une brillante démonstration de vulnérabilité et de vision poétique. Cette riche décadence émotionnelle, débordante de ferveur créatrice, est la prémisse qui fait